Les points clés - Définition de la maladie de Castleman
La maladie de Castleman est une maladie rare, non maligne, des ganglions. La maladie de Castleman n’est pas un cancer et n’est ni transmissible, ni héréditaire. 1 Sa prévalence en France, est estimée à 1300 cas par an. 2
Il existe 3 formes distinctes de la maladie de Castleman :
- La forme unicentrique (50% des cas de maladie de Castleman),
- La forme multicentrique idiopathique (25% des cas),
- La forme multicentrique associée à l’herpès virus HHV-8 chez les patients VIH négatif (25% des cas). 2
Pour en savoir plus sur la maladie de Castleman, écoutez le témoignage du Pr Gyan, sur RARE à l’écoute, le podcast dédié aux maladies rares, en cliquant ici.
La forme unicentrique de la maladie de Castleman est la présentation de la maladie la plus fréquente. Elle touche plutôt les enfants ainsi que les jeunes adultes et se présente sous la forme d’un gros ganglion (adénopathie) pouvant se situer au niveau du cou, des aisselles ou à la racine de la jambe. Cette adénopathie peut être gênante ; généralement non douloureuse, elle peut s’accompagner de signes d’inflammation tels que : fièvre, sueurs, perte de poids, arrêt de croissance chez l’enfant ou encore par une anémie inexpliquée. 3
La forme multicentrique idiopathique de la maladie de Castleman peut être observée à la fois chez les adultes et les enfants. Sa présentation est quasi-identique à la forme unicentrique, mais elle est révélée par la présence d’une polyadénopathie (augmentation du volume de plusieurs ganglions). Comme dans la forme unicentrique des signes d’inflammation sont présents. A cette inflammation peut parfois s’ajouter une splénomégalie (augmentation anormale du volume de la rate). 4
La forme multicentrique associée au virus HHV-8 s’observe le plus souvent chez les patients infectés par le VIH, mais également dans les populations d’origine méditerranéenne ou africaine. La présentation de cette forme de la maladie est identique à la forme multicentrique idiopathique. Cependant, dans la moitié des cas, elle coexiste avec une autre complication d’une infection par HHV-8 : la maladie de Kaposi. 5
Le diagnostic de la maladie de Castleman repose avant tout sur l’examen de la lésion. Pour cela, une biopsie d’un ganglion est réalisée : l’analyse anatomopathologique montre un aspect particulier permettant de confirmer le diagnostic de maladie de Castleman. 1
Pour en savoir plus sur le dépistage et le diagnostic de la maladie de Castleman, écoutez le témoignage du Dr Meignin, sur RARE à l’écoute, le podcast dédié aux maladies rares, en cliquant ici.
Les principaux diagnostics différentiels de la maladie de Castleman sont le lymphome, le lupus érythémateux systémique, et la maladie de Still. 6
En fonction de la forme de la maladie de Castleman, le traitement proposé sera différent. Dans le cadre d’une maladie de Castleman unicentrique, le traitement de référence est la chirurgie.
Pour la forme multicentrique idiopathique, un traitement ciblant la voie de l’IL-6 (interleukine 6) ou des anticorps monoclonaux sont privilégiés. Un traitement ciblant les lymphocytes B peut également être proposé dans certaines formes pauci-symptomatiques et peu inflammatoires.
Enfin, dans le cadre de la maladie de Castleman multicentrique associée au virus HHV-8, le traitement de référence repose sur l’administration d’un anticorps monoclonal ciblant les lymphocytes B. 6
Références :
- Castleman.fr – https://castleman.fr/maladies-de-castleman-classification/
- Castleman.fr – https://castleman.fr/epidemiologie/
- Castleman.fr – https://castleman.fr/maladie-de-castleman-unicentrique/
- Castleman.fr – https://castleman.fr/maladie-de-castleman-multicentrique-idiopathique/
- Castleman.fr – https://castleman.fr/maladie-de-castleman-associee-au-virus-hhv-8/
- HAS, PNDS de la maladie de Castleman – https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2019-11/pnds_castleman_2019.pdf
Les symptômes de la maladie de Castleman
La maladie de Castleman est une maladie lymphoproliférative non maligne se manifestant par une inflammation des ganglions et des tissus lymphatiques. Cette maladie touche avec la même fréquence les femmes que les hommes. 1
Pour en savoir plus sur les symptômes de la maladie de Castleman, écoutez le témoignage du Pr Oksenhendler du Centre de référence de la maladie de Castleman, sur RARE à l’écoute, le podcast dédié aux maladies rares, en cliquant ici.
Les manifestations cliniques de la maladie de Castleman varient selon sa forme. 1
- Maladie de Castleman unicentrique : Les patients atteints de cette forme de la maladie sont très généralement asymptomatiques. 1,2 L’identification de la maladie repose le plus souvent sur la découverte fortuite, lors d’un examen de palpation ganglionnaire ou d’un examen radiologique, d’une adénopathie localisée. Cette adénopathie peut être retrouvée au niveau du cou, des aisselles, de la racine de la jambe ou encore au niveau du thorax ou de l’abdomen. 3 Elle est en général, non inflammatoire et non douloureuse mais, lorsqu’elle est très volumineuse ou mal placée, elle peut être responsable d’une gêne ou de douleurs. 1,4 Le pronostic des patients atteints de cette forme unicentrique est très bon, sans impact apparent sur l’espérance de vie. 2
- Maladie de Castleman multicentrique idiopathique : Le plus souvent, cette forme de la maladie est révélée par la présence d’une polyadénopathie associée à des signes d’inflammation tels que fièvre, sueurs, perte de poids, arrêt de croissance chez l’enfant, ou encore par une anémie inexpliquée. 5 Dans cette forme de la maladie, les patients présentent une altération de l’état général fébrile avec anémie, thrombopénie ou thrombocytose, élévation de la CRP (protéine C réactive), hypergammaglobulinémie polyclonale, …. 2,4 Dans certains cas, une splénomégalie peut également être observée. 5 La maladie de Castleman multicentrique idiopathique peut être retrouvée à tout âge mais touche majoritairement les adultes de plus de 40 ans. 2 Le pronostic dépend des complications et de la sensibilité aux traitements. 2 Ce pronostic s’est cependant considérablement amélioré depuis l’arrivée de nouveaux traitements mais il existe toujours des formes graves, résistantes et mortelles de la forme multicentrique idiopathique.5
Pour en savoir plus sur la maladie de Castleman, écoutez le témoignage du Pr Viallard, sur RARE à l’écoute, le podcast dédié aux maladies rares, en cliquant ici.
- Maladie de Castleman multicentrique associée à l’herpès virus HHV-8 : Comme pour la forme multicentrique idiopathique, cette forme de la maladie de Castleman est révélée par la présence d’une polyadénopathie associée à des signes d’inflammation tels que : fièvre, sueurs, perte de poids, arrêt de croissance chez l’enfant, ou par une anémie inexpliquée. 5,6 La présentation clinique est donc superposable à celle de la forme unicentrique idiopathique mais avec quelques particularités qui sont notamment la présence de lésions de Kaposi (lésions violines sur la peau). 2,4 Cette forme de la maladie de Castleman survient le plus souvent dans un contexte d’immunodépression acquise (infection par le VIH, traitements immunosuppresseurs, …). Bien que le pronostic des patients se soit considérablement amélioré ces dernières années, il existe un risque d’évolution vers une tumeur maligne des ganglions ou lymphome. 6,2 Le pronostic vital peut être mis en jeu en cas de survenue d’un syndrome hémophagocytaire. 4
Références :
- Carenity – https://www.carenity.com/infos-maladie/maladie-de-castleman-1649
- HAS, PNDS de la maladie de Castleman – https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2019-11/pnds_castleman_2019.pdf
- Castleman.fr – https://castleman.fr/maladie-de-castleman-unicentrique/
- Filière MaRIH – https://marih.fr/pathologies/maladie-de-castleman/
- Castleman.fr – https://castleman.fr/maladie-de-castleman-multicentrique-idiopathique/
- Castleman.fr – https://castleman.fr/maladie-de-castleman-associee-au-virus-hhv-8/
Dépistage et diagnostic de la maladie de Castleman
La maladie de Castleman est une maladie rare qui compte 3 grandes formes clinico-pathologiques considérées comme des entités distinctes. On distingue la maladie de Castleman unicentrique, de la forme multicentrique idiopathique et de la forme multicentrique associée à l’herpès virus HHV-8. 1
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Dans la pratique, il convient d’évoquer le diagnostic de maladie de Castleman devant la présence de :
- Masse ganglionnaire unique hypervascularisée pour la maladie de Castleman unicentrique,
- Polyadénopathie et syndrome inflammatoire pour la maladie de Castleman multicentrique idiopathique ou pour la maladie de Castleman multicentrique associée à HHV-8 (principalement dans un contexte d’infection à VIH),
- Polyadénopathie et syndrome inflammatoire c/o VIH + pour la maladie de Castleman multicentrique associée à HHV-8,
- Syndrome inflammatoire inexpliqué et retard de croissance pour la maladie de Castleman unicentrique ou pour la maladie de Castleman multicentrique idiopathique pédiatrique. 2
Devant un diagnostic suspecté de maladie de Castleman, il convient de réaliser une biopsie non invasive (réalisée sous repérage radiologique) ou un prélèvement chirurgical d’un ganglion pour analyse anatomopathologique. 2
Lors de l’analyse de l’échantillon, il existe plusieurs types ou variants histologiques :
- La forme hyalino-vasculaire ; il s’agit de la forme la plus fréquente de la maladie de Castleman focalisée,
- La forme hyper-vasculaire associée à un syndrome TAFRO (Thrombopénie, Anasarque, Fièvre et Fibrose médullaire, atteinte Rénale, Organomégalie),
- La forme plasmocytaire ; il s’agit de la forme la plus fréquente de la maladie de Castleman multicentrique idiopathique,
- La forme mixte ou intermédiaire entre hyalino-vasculaire et plasmocytaire, qu’il convient de considérer comme une forme plasmocytaire.
- La forme associée à HHV-8, proche de la forme plasmocytaire sur laquelle on distingue la présence de cellules « plasmablastiques » infectées par HHV-8 révélée par immunohistochimie anti-LANA ; il s’agit de la forme de la maladie de Castleman multicentrique associée au virus HHV-8. 1,2
Pour en savoir plus sur le dépistage et le diagnostic de la maladie de Castleman, écoutez le témoignage du Dr Meignin, sur RARE à l’écoute, le podcast dédié aux maladies rares, en cliquant ici.
Le diagnostic définitif de la maladie de Castleman peut rester difficile, en particulier pour les formes plasmocytaires multicentriques idiopathiques, et ne sera retenu qu’après exclusion d’un certain nombre de pathologies tumorales, infectieuses ou inflammatoires et après inclusion d’un certain nombre de critères cliniques et biologiques associés. 2
Il est important de noter que d’autres maladies peuvent s’accompagner d’adénopathies avec des lésions ressemblant à celles observées dans la maladie de Castleman mais sans pour autant être de véritables maladies de Castleman. 2,3
Le diagnostic de la maladie de Castleman doit toujours être confirmé par un spécialiste de la maladie dans un centre de compétence ou à défaut dans un service d’hématologie ou de médecine interne. 3
Références :
- Filière MaRIH – https://marih.fr/pathologies/maladie-de-castleman/
- HAS, PNDS de la maladie de Castleman – https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2019-11/pnds_castleman_2019.pdf
- Castleman.fr – https://castleman.fr/maladies-de-castleman-classification/
Diagnostics différentiels de la maladie de Castleman
La maladie de Castleman est une maladie lymphoproliférative non maligne qui se manifeste sous forme localisée ou multicentrique. Les manifestations cliniques sont hétérogènes, allant d’une adénopathie asymptomatique à des épisodes récurrents d’adénopathies diffuses avec de graves symptômes systémiques. 1
Pour en savoir plus sur les éventuels diagnostics différentiels de la maladie de Castleman, écoutez le témoignage du Pr Viallard, sur RARE à l’écoute, le podcast dédié aux maladies rares, en cliquant ici.
Les principaux diagnostics différentiels des différentes formes de la maladie de Castleman peuvent être :
- Des pathologies malignes telles que le lymphome de Hodgkin, le lymphome non-hodgkinien, le syndrome de POEMS (polyneuropathie, organomégalie, endocrinopathie, hémopathie plasmocytaire et anomalies cutanées), …
- Des pathologies inflammatoires ou auto-immunes telles que le lupus érythémateux systémique, le syndrome de Gougerot-Sjögren, la maladie de Still, des maladies associées aux IgG4, …
- Des pathologies infectieuses telles qu’une primo-infection à EBV (virus d’Epstein-Barr), à CMV (cytomégalovirus), à VIH (virus de l’immunodéficience humaine) ou la toxoplasmose.
- Des déficits immunitaires primitifs. 2
Références :
- Orphanet – https://www.orpha.net/consor/cgi-bin/Disease_Search.php?lng=FR&data_id=3618&Disease_Disease_Search_diseaseGroup=Maladie-de-Castleman&Disease_Disease_Search_diseaseType=Pat&Maladie(s)/groupes%20de%20maladies=Maladie-de-Castleman&title=Maladie%20de%20Castleman&search=Disease_Search_Simple
- HAS, PNDS de la maladie de Castleman – https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2019-11/pnds_castleman_2019.pdf
La prise en charge de la maladie de Castleman
La maladie de Castleman, pathologie ganglionnaire non maligne, est définie par une image histologique ganglionnaire particulière, associée à des éléments cliniques et biologiques. 1 Il existe plusieurs formes distinctes de la maladie qui seront traitées de manière spécifique : 1-5
- Maladie de Castleman unicentrique : Cette forme de la maladie a un très bon pronostic. Le ganglion lymphatique touché est retiré le plus souvent par chirurgie. Après exérèse complète, une récidive de la maladie est très rare. Cependant, un risque de rechute peut tout de même exister dans les formes s’étant présentées avec de la fièvre ou des signes d’inflammation. Lorsqu’une exérèse incomplète est réalisée, une radiothérapie ou un traitement par anticorps monoclonal anti-interleukines 6 (IL-6) ou anti-récepteur de l’IL-6 peut être proposé.
Dans certains cas, en fonction de la localisation du ganglion, la chirurgie peut ne pas être envisageable ou être trop risquée. Un traitement visant à faire réduire la taille du ganglion devra alors être mis en place. Il peut s’agir de chirurgie par embolisation, d’un traitement par corticoïdes, d’un traitement visant les lymphocytes B, d’anticorps monoclonal ciblant la voie de l’IL-6, ou encore d’un agent alkylant. - Maladie de Castleman multicentrique idiopathique : Cette forme de la maladie, qui touche de nombreux ganglions, a un pronostic qui s’est très nettement amélioré ces dernières années avec l’arrivée de nouvelles thérapeutiques. Cependant, il existe toujours des formes graves, résistantes et mortelles. Le traitement de cette forme vise à réduire la masse ganglionnaire, à traiter les symptômes et à faire régresser le syndrome inflammatoire et ses conséquences. Le traitement de référence de la maladie de Castleman multicentrique idiopathique consiste en une immunothérapie visant à neutraliser l’effet de l’IL-6. Il s’agit d’un traitement suspensif et donc de durée indéterminée. Ce traitement est généralement rapidement efficace mais le risque de rechute est fréquent dès lors que le traitement est arrêté. Dans les formes peu sévères, un traitement par corticoïdes ou par immunosuppresseurs peut être utilisé.
- Maladie de Castleman multicentrique associée à l’herpès virus HHV-8 : Comme pour la forme multicentrique idiopathique, le pronostic de cette forme de la maladie de Castleman s’est très nettement amélioré ces dernières années avec l’arrivée de nouvelles thérapeutiques. Cependant, un risque d’évolution vers une tumeur maligne des ganglions ou lymphome, existe toujours. Le traitement de référence de cette forme multicentrique associée à HHV-8 est une immunothérapie dirigée contre les lymphocytes B contenant le virus HHV-8. Dans le cadre d’un traitement d’urgence cette immunothérapie est très souvent associée à un agent cytostatique pouvant permettre un contrôle rapide des symptômes. Enfin, dans le cadre d’une infection par VIH, il est indispensable d’associer un traitement antirétroviral. Dans ce cadre, une rechute reste possible mais elle est généralement sensible à un second traitement.
Pour en savoir plus sur les traitements de la maladie de Castleman, écoutez le témoignage du Pr Oksenhendler du Centre de référence de la maladie de Castleman, sur RARE à l’écoute, le podcast dédié aux maladies rares, en cliquant ici.
Quel que soit la forme de la maladie de Castleman, une surveillance étroite du patient doit être mise en place après traitement.
Références :
- HAS, PNDS de la maladie de Castleman – https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2019-11/pnds_castleman_2019.pdf
- Filière MaRIH – https://marih.fr/pathologies/maladie-de-castleman/
- Castleman.fr – https://castleman.fr/maladie-de-castleman-unicentrique/
- Castleman.fr – https://castleman.fr/maladie-de-castleman-multicentrique-idiopathique/
- Castleman.fr – https://castleman.fr/maladie-de-castleman-associee-au-virus-hhv-8/
Les centres experts de la maladie de Castleman
Le centre de référence Maladie de Castleman a pour objectif principal d’améliorer la prise en charge des patients atteints de cette pathologie et d’offrir une plateforme d’information aux professionnels de santé confrontés à ce diagnostic. En effet la prévalence de la maladie est relativement faible et il est tout à fait possible qu’un professionnel de santé en première ligne n’ait jamais rencontré de patients souffrant de la maladie de Castleman, dont les symptômes peuvent être parfois peu spécifiques.
Le diagnostic de la Maladie de Castleman impose un avis spécialisé, au mieux dans le centre de référence ou, à défaut, en service d’hématologie ou de médecine interne. Pour assurer le maillage territorial de la France, des centres cliniques et des laboratoires sont associés au centre de référence pour constituer un réseau couvrant l’ensemble du territoire.2
Les recommandations du PNDS (Protocole National de Diagnostic et de Soins) Maladie de Castleman ont été coordonnées par le centre de référence de la maladie de Castleman et ont été discutées par un groupe d’experts au sein d’un groupe pluridisciplinaire.1
Références :
- HAS, PNDS de la maladie de Castleman – https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2019-11/pnds_castleman_2019.pdf
- Castleman.fr – https://castleman.fr/reseau-maladie-de-castleman/
Les spécialistes de la maladie de Castleman
Pour plus d’informations sur la maladie de Castleman, vous pouvez consulter les articles, vidéos et sites web ci-dessous :
- Centre de Référence de la Maladie de Castleman : https://castleman.fr/
- Carenity : https://www.carenity.com/infos-maladie/maladie-de-castleman-1649
- Filière MaRIH – Filière de santé Maladies Rares Immuno-Hématologiques : https://marih.fr/
- HAS, Protocole National de Diagnostic et de Soins (PNDS) Maladie de Castleman : https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2019-11/pnds_castleman_2019.pdf
- CDCN – Castleman Disease Collaborative Network : https://cdcn.org/
- Fondation Maladies Rares : https://fondation-maladiesrares.org/
- Société nationale française de médecine interne : http://www.snfmi.org/
- Société française d’hématologie : https://sfh.hematologie.net/